¿Y no es acaso su existir una quimera? Todo lo que no tiene es sencillo de alcanzar, su solución se basa en tapiar los ojos y tolerar que todo se desmorone eternamente entre lo real y lo que no, la ficción de un deseo...

Sunday, May 29

   La simplicité d'un mot peut apporter des souvenirs magnifiques et te transporter dans des endroits merveilleux…
Les meilleures expériences du voyage ont lieu dans ​​le bus. De nombreuses heures partagées de voyage en recherchant de ville de nos rêves. Nous avons contemple le paysage et nous avons dormi comme des loirs aussi.
   Quand nous sommes arrivés, nous avons eu peur et des milliers de pensées nous assaillaient; «Qu'est-ce qui va se passer maintenant?» «Il va pleuvoir?». Le bus tournait autour de la ville merveilleuse, pleine d'or, de statues colossales et du magnifique baroque… J’étais au paradis! Mais ça c’était seulement une petite visite panoramique à travers les fenêtres du bus.
   Le bus nous a déposés rapidement et à ce moment-là ni les professeurs ni les élèves ne connaissaient le chemin. Finalement nous sommes arrivés, peut-être grâce à l'instinct, à l’hôtel. Il n’était pas très grand mais il était accueillant et tranquille. Nous avons vu l’énorme escalier presque en colimaçon et nous avons soupiré et pensé aux valises qui pesaient comme des pierres.
Sans avoir eu l’opportunité de nous reposer, bien que je suis rentrée dans les toilettes pour changer le pull-over et me rafraîchir, nous sommes parties.
   La première destination était la Tour Eiffel et ses environs. Je crois que tout le monde a une idée dans sa tête; le fer, le bronze, mais à ce moment précis, tu la vois avec tes propres yeux et tu te rends compte de la réalité. Elle n’est pas simplement un morceau de métal, elle cache quelque chose à l'intérieur: la magie des souvenirs de Lutèce. Sans doute; le seul inconvénient était la douleur aux mollets après avoir monté six cent marches.
Nous avons fait une promenade en bateau sur la Seine, c'était merveilleux de passer sous les ponts et voir la ville depuis la rivière qui la borde. Mais le meilleur moment a eu lieu dans l'obscurité de la nuit: la Tour Eiffel illuminée sous la vue de nombreux étrangers qui cherchent la magie cachée et mettre le point final quand elle scintille…
   Le samedi nous avons visité le célèbre Louvre, où j'ai pu admirer la taille des tableaux (comme la Liberté guidant le peuple), observer La Joconde et son sourire étrange et des sculptures étonnantes. Puis nous avons joui de merveilleuses vues du jardin des Tuileries et même si le matin il pleuvait, à ce moment-là le soleil brillait dans le ciel.
   Nous sommes allés à l’Opéra Garnier, qui m’a beaucoup plait, avec des lampes énormes, des miroirs et le reflet d’or, les impressions anciennes… Et pour finaliser nous avons visité les Galeries Lafayette; elles ont boutiques très connues et très somptueuses aussi. J’ai perdu mes amies et je suis montée au dernier étage pour contempler une des meilleures vues d’ensemble de Paris.
   Le jour suivant, en respirant la nouvelle envie de connaissance, nous avons visité des monuments et des bâtiments très importants comme les champs Elysées, l’arc de triomphe, le Palais-Bourbon… Mais sans aucun doute j’ai bien aimé Montmartre, connu pour la coupole blanche de la Basilique du Sacré Cœur. Un quartier avec beaucoup d’histoire. Une commune française où tu peux sentir l’air de bohème qui s'en dégage, les pas des milliers de visiteurs, l'odeur de la peinture et le fusain, manger une crêpe, ou deux, acheter des souvenirs (comme le foulard le plus beau avec des symboles de la ville ravissante pour ta grand-mère), te promener dans la Place du Tertre pour observer les oeuvres impressionnistes et originales ou saluer le passe-muraille. J’ai pensé à Picasso, â son début et, bien sûr, j’ai eu la curiosité de connaître les endroits dont j’avais fait la présentation.
   J’ai vraiment aime le 18ème arrondissement, parce que, après de la Tour Eiffel, nos têtes ont imaginé le célèbre Moulin Rouge, ses histoires et son mystère. Ça c’était comme rayer son nom d’une liste de choses à faire. Et je dois ajouter que je n'avais jamais vu autant de boutiques érotiques ensemble... Le souvenir le plus vivant de ce moment est l’image de deux hommes qui nous ont demandé de quitter un lieu prés de leur club, probablement ils étaient les concierges, et nous avons éprouvé de peur, l’adrénaline et le doute. Mais finalement ils ont été sympathiques, c’était amusant, nous avons fait une montagne de pas grand-chose.
   La tristesse a envahi nos corps le lundi. Comme tous les jours mes collocs (au moins dans l’hôtel) m’ont offert la nourriture qu’elles n’ont voulue et nous avons parle du dernier jour là… Dans le papier du programme il disait «La Cathédrale de Notre Dame» et je ne pouvais croire qu’elle serait aussi belle que ça, avec ses éléments notoires de la façade… A peine j’ai accordé de l’importance a cette jolie paroisse gothique, jusqu'au moment où la guide a parle. Elle aimait son travail et transmettait ses connaissances, même si elle permettait que nous apportions quelques renseignements.
   Nous avons vu l’hôtel de Ville de Paris et l'horrible centre Georges-Pompidou, mais je veux souligner La Sainte Chapelle. Malgré tous les problèmes que nous avons eu avant de rentrer dans le détecteur de métaux, ça en valu la peine. Je n'avais jamais vu autant de couleurs, d’incroyables vitraux en jaune, bleu, vert ou rouge, et aussi dans les colonnes couvertes des fleurs de lys. Je ne vais jamais l’oublier.
   C’est indispensable de parler aussi de la nuit. Mes camarades se sont transformés en ma famille et chaque minute avec eux est incroyable. Nous sommes très responsables, mais dans la nuit nous nous sommes retrouvés dans la même chambre, et là nous avons passé des bonnes nuits en parlant et en mangeant des sucreries mais sans faire de bruit. Je vais me rappeler toujours de la terrible femme qui dormait à côté de notre chambre: elle croyait que nous faisions du chahut, elle s’est promenée dans le couloir comme un fantôme. J’ai dû parler avec elle-même si j’étai morte de peur parce que ça c'était impossible: nous étions silencieuses comme un chat…

Paris le jour, Paris la nuit, sous le soleil ou sous la pluie, Paris sera toujours Paris… Pourvu que je sois là maintenant; dans la ville de l’amour, la belle ville et éternelle de la lumière ou tu peux déambuler dans ses rues, regarder ses ponts où les preuves d’amour fleurissent en revêtant mille et une couleurs... Paris, Paname ou Lutèce, à toi pour toujours.

Friday, May 20

El duelo.

Acciones y efectos.

- Comentar lo que se echa de menos, y de más, de la persona querida. Esto tendrá efecto en la negación, pues facilita el reconocimiento de la ausencia y expresa emociones reprimidas, generando menos dolor las muertes que las separaciones.

- Informar (a la persona querida) de lo que ha sucedido desde que no está, con el objetivo de evitar el aislamiento, reconociendo la pérdida, mejorando su aceptación y conectando al deudo con su átomo social.

- Recogida del legado o actuación similar a como la haría la persona querida. La herencia económica puede no aceptarse, heredándose pues el legado psíquico: retomar su manera de afrontar el mundo. En un principio, el dolor nos viene desde fuera, y según Freud, el momento en el que este se instala en nuestros adentros, ha finalizado. Todo ello ayuda a interiorizar la injuria, mejorar el "self" o si mismo a través de las aportaciones del otro.


Mi duelo,
voy a matar al que dijo:
"al menos ya no nos echamos de menos,
si no nos vemos".


Mi infierno,
conocer que no elijo,
cuando, donde, por qué te espero
o te deseo.

Mi cuerpo,
dejó de ser un castillo,
en mis pensamientos huele a muerto,
mi mundo esta ahí dentro.

Si me buscas,
basta.
Y lo siento,
ni yo me encuentro.

Friday, May 13

Escribiendo puesto como solía Platón, pero yo haría trap filosofón... ¿Por qué siempre pongo los títulos después, si la única que entiende mi mierda soy yo?

Peta y sun is shining.
¿Realidad o ambientación?
No es por la canción,
o porque sienta brillar el sol.
Juro he visto a Frida Kahlo,
esperando en la estación.
En los oídos Bob Marley,
meta en el corazón.
Qué facilidad rimar en ón;
camión, pasión, halcón.
Every day, and every night
quiero verte en acción,
cuando me venga el mono,
me acordaré de tu don...
Que fuiste fugaz como Harley,
y aun así, era todo amor...
Pero no veo cerca ni lejos,
ciega porque alguien me fió.
¡Ay, quién va a enseñarles!
Ni de mi sombra me fío yo...
Aprovechando, invento un dios,
imagino que es un caracol;
por su lentitud y convicción.
Le invito conmigo al baile,
entre las nubes y el ardor.
Mil cosas pasan por mi razón,
un batido de ideas sin sabor;
funciona mi mente tan veloz...
Sin embargo, es un desastre,
menuda enredadera mi voz.
Me olvido del mundo exterior,
"uy, siento no cumplir mi rol".
Sigo con caladas y jah praises,
en realidad, soy un show.
Dicen "no pares, trae ese ron,
pásate ese mae, sube el altavoz,
ojitos chinos" ¿quién, yo?
Que os jodan, no me rayéis,
me salgo de la puta habitación,
pero sonrío en el balcón,
vuelvo jadeando, nada pasó.
Pongo musicota, Kase-O.
Felicidad, sudor.
Kike me pregunta
qué tengo debajo del pantalón...
¿Soy hombre o varón?
No me había dado cuenta,
todo penes en este salón.
¡A new day is rising!
Joder, voy más alta que plutón...



https://youtu.be/QQQpkll5aoA

Wednesday, May 11

Virginia es efecto mariposa, cada vez que pestañea todo mi mundo tiembla.


Cualquier alma amante de las buenas leyendas conoce uno de los más repetidos relatos a lo largo de los años, transmitido únicamente a través de las sabias voces de madres, soñadores e ilustrados profetas de la historia de los tiempos. Debo de ser uno de esos valientes que se atreve a plasmar en papel la breve historia capaz de cambiar pensamientos y modificar conductas en un desastroso mundo, donde lo que prima es la avaricia y el poder…

Dicen las lenguas más eruditas que en una desconocida y seca provincia perteneciente a un país de costumbres occidentales, abruptas montañas e integrantes codiciosos, un rey llamado Alfonso decidió construir el mayor castillo nunca visto. Desde las profundidades de la tierra, entre raíces, elevó muros y creó un acogedor pero descomunal habitáculo. Nuestra fortaleza contaba con nada menos que siete plantas con numerosas habitaciones, cada cual más pintoresca; casi como arrancada de diferentes temperamentos. Lo adornó con diáfanas ventanas, que en cada uno de los pisos se dejaban atravesar por un color del arcoíris, célebres cuadros y múltiples espejos que danzaban por las majestuosas salas.
Sin embargo, este rey, que gozaba de una maravillosa imaginación y gusto por la ornamentación, carecía de los dones del amor, la capacidad de amar y el arte de sentirse querido. Este desgraciado destino era consecuencia de la mas malévola de las maldiciones, pues una perversa bruja, celosa de todo su poder, le condenó a no poder jamás conocer a su alma gemela, esa de la que hablaban ya los griegos en sus mitos andróginos. Esta, una bella mujer con dotes para la medicina y el saber, viviría cuantiosos lustros después y, por tanto, les seria materialmente imposible llegar a saber el uno del otro.
El rey Alfonso, entristecido por su fatalidad y cansado de evadir sus raciocinios entre arquitectura y decoración ostentosa, emprendió un camino en busca de la solución. Tras numerosos meses divagando cual espectro entre los aposentos, tomó una decisión: hacer saber de generación en generación que habría una bella dama en la capital que algún día no se vería capaz de hallar un príncipe azul, con origen de esta desgracia en el horror del poder y la envidia. Una inocente sin ningún tipo de culpa, se vería afligida durante cierto tiempo de su vida, aunque también como gran parte de la población que, hazañas del destino, no se encuentra con su otro yo, su gran amor. Dictaminó que debía ser tratada como una reina, su esposa, y gracias a la ayuda de muchos de los mejores magos y prestidigitadores de la época lo dejó escrito y sentenciado en el destino del mundo.
Siglos después, nació en una fría ciudad de gótica arquitectura una bella niña de cabellos dorados y facciones estrictas, que creció y se transformó en una mujer marcada por el ansia del conocimiento y que se veía idolatrada por gran parte de la población masculina que la vislumbraba. Todos y cada uno de los hombres de la región volteaban su cabeza, sorprendidos de su magnificencia, cada vez que ella pasaba. Resolvió esta, emprender un viaje en la travesía de la medicina y las artes curativas de la época. El azar balanceó su ágil cuerpecito hasta un castillo conservado con esmero durante cientos de primaveras; donde habitaría hasta que consiguiese uno de los propósitos con mayor relevancia en su vida.
Tal y como predijo aquella malvada hechicera, en numerosas ocasiones se vislumbraba embestida por la aflicción de no discernir si encontraría alguien enteramente complementario a ella.
Conoció en la famosa alcazaba a ocho maravillosas damas, un tanto mágicas, próximas a aquellos cuentos de hadas, que seguirían sus pasos, uno tras otro, la apoyarían y harían de su vida un continuo trajín de maravillosas anécdotas que contar, carcajadas con olor a sueño y algún que otro momento de desconsuelo. Eran, sin duda, un punto sobre el que rotar y amenizar la dureza del nuevo planeta.
Las mayores autoridades, una vez descubrieron de quien se trataba, le hicieron entrega de una carta que llevaba esperando demasiado tiempo a su destinatario. En ella, la letra clara, curva, como expirada de una mano que no quería abandonar el papel, y llena de sentimiento; le contaba como podría sentir la pena en numerosas ocasiones, llorar desconsoladamente, infravalorar cualesquiera de los dones que algún ser superior pudiera haberle dado, pero que seguiría viviendo. Viviría, respiraría, coexistiría, subsistiría y sobreviviría. Lo haría del mismo modo que cualquiera, quizá con esas evidentes ventajas de las que una soberana goza, pero con el don del sentimiento.
Quería con esa misiva hacerle saber que, en ocasiones, hay un amor más poderoso que cualquiera de los establecidos desde el principio de los tiempos, un afecto capaz de ser elegido y que le daría en una balanza final mayores logros que cualesquiera de los imaginados por el hombre. Hablaba de una amistad que se concibe y desarrolla desde un pequeño cúmulo de desgastada arenilla hasta el levantamiento de un hermoso castillo. Pues conocemos el valor material, pero no el inmedible sacrificio de lo que ha supuesto llegar hasta la piedra de su cima. Debería interpretar que ella sería capaz de valorarse como es, porque su rey conocía que era completa de ese modo, si no, ¿cómo podría enamorarse de una idea, una ilusión siglos atrás?
Desde aquel preciso instante nuestra protagonista dominaría uno de los más valorados juicios de la historia. Ella era el pilar de su propio cuento, y no importaba cuantos obstáculos se viesen impresos en su ventura, que podría aventajarse a ellos. La supremacía o poder jamás lograrían derrocar el ideal de un hombre o el amor y la amistad que estableciese con otros. ¿Acaso no conoció, de una manera u otra, al que se supone se podría llamar su otra mitad? No hay límites frente a un deseo que no se puedan superar.


"Ojalá ser tan linda como vos,
tan pura como vos.
Ojalá el amor que incitas,
os llame un día a la puerta,
ojalá vos llamando a la mía."


                                       Alfonso VIII de Castilla, el Noble.
                                       O Alicia Tirados, la impura, qué más da.

Saturday, May 7

Tributo a.

Y para ti nunca yo bastaba,
pero lo entendía,
porque para mi nunca basta nada.
Ultimamente.
Ultimamente ya no siento nada,
por ti,
será esta encrucijada,
tu sol que ya no brilla; no me baña.
Cansada, debería exhalar aire,
no caladas.
Llamé cuando sabía que no estabas,
no dejé ningún mensaje en el contestador,
y como tu ya no me buscabas,
otro me encontró.
Tu voz era mi triste balada,
tus manos mi colchón.
Qué gran putada, ¿te acuerdas?
Cuándo dejamos el ser dos.

Te acuerdas, cuando estábamos a solas,
bebíamos del whisky sin copa,
solo usábamos las bocas
sin control.
Me confesaste que querías ser como las olas,
y flotar, y flotar, y flotar con caracolas,
y llorar, y llorar, y llorar a todas horas,
y te agujereabas un pezón,
como muestra de tu amor...
Me acuerdo, de tus malas pulgas,
se me daba la vuelta el corazón,
todo porque me decías quiéreme
y yo cantaba no, no, no...
Tu nunca comprendiste que era un pájaro,
tan libre, muy pegadito al sol,
yo planeaba por cualquiera de sus dudas,
y aprovechaba la ocasión.
Decía, los hombres son como las mulas;
les da igual la explotación,
me bajaba los tirantes hasta la cintura
y les llegaba inspiración.

Tributo, a tu puta madre,
ya no hay nadie que me calle.
¿Entiendes?
Voy a reír hasta que estalle...
¡Es tan verde ahora mi valle!

Camino por la estepa, disfruto los colores,
bailo con el viento
que acaricia toas las flores,
nos movemos suavecito al mismo son.
Me da igual que ahora te rías,
pero he encontrado muchos hombres
sin tener que estar cañón.
Es que se me olvidó,
porque decías que me querías,
o es que igual ya ni lo hacías, qué se yo.
Me jode tanta hipocresía,
cuando hablas de tu riqueza interior;
en realidad te joden mis alegrías,
y a mi me la suda tu egoísmo mas cabrón.
Lo que siento por ti es lástima,
solo eres en mi piel otro puto moratón,
uno mas,
para el montón.

Al contrario que los beatles,
tu me cantabas hola; yo te dije adiós,
porque cada vez que me venías a la memoria,
ya no se me empalmaba el corazón...
Pensabas que era una princesita
y flipabas cuando te liaba los canutos,
yo mordía tus labios sabor polen;
tu los míos de fresita,
exprimíamos un zumo con los frutos,
aquello parecía un volcán en erupción.
Pero ya no.
Y estaba un poco hasta la polla,
te jodía que besase a cualquiera
con buena conversación,
un alma rota, nada en la cartera
y libros en el cajón.
Comprendí entonces que si por ti fuera
yo sería condición.
Nadie jamás va a ponerme una correa,
ni cuando hagamos el amor.
¿Comprendes?
Rodee sí, si lo entendió.

Tributo, a tu puta madre,
ya no hay nadie que me calle.
¿Entiendes?
El mundo esta de mi parte.
¡Es tan verde ahora mi valle!

Wednesday, May 4

Historias para no dormir.


Apareció su nombre en la conversación, y aquello me golpeó la cara en un instante, la agitada corriente del recuerdo o algo similar. Al despertar de mis ensoñaciones descubrí que todas aquellas caras conocidas buscaban en mis labios la respuesta, volteaban entre mis dientes y paseaban por la encía con ojos ansiosos. "Esto que bebéis os debe estar dejando locos para preguntármelo a mí". Habría valido un monosílabo. Y nada sucedió, porque yo no había vuelto a pronunciar esas seis letras jamás, supongo estarían encubiertas en algún recodo de mi paladar...

La noche avanzaba y mi habitación era un coladero de petróleo, solo había oscuridad, sudor y encarecidas posturas. Recobré la conciencia sobresaltada ante la horrible sensación de la ignorancia, ante la enigmática cuestión que hice girar y girar entre circunvolución y surco hasta expirar... ¿De qué color eran sus ojos? Deteniendo aquí el pensamiento, nada resulta más improductivo que la evaporación de un recuerdo de dimensional consideración. Y lo gire, lo torné, lo volví de un lado y de otro, colocando la concepción sobre cada uno de sus vértices e irrupciones. Dios mío, de qué puto color eran sus ojos... Yo me bañé en su mácula, disco, bastón, estroma, coroide, no una, ni dos, sino incalculables ocasiones y ya no sé...
Revuelta conmigo misma, en un inmenso esfuerzo de arbitraria contienda, me incorporé, alargué mi brazo, tracé cincuenta y dos curvas y setenta y ocho rectas. Escribí.

"Querido Victor,
No leí tus cartas, porque estaba saturada, seamos claros, tampoco me preocupa. Te ruego continúes leyendo. Me ahorraré preguntas educadas y cordialidades banales, que no nos representan. No estoy interesada en saber de tu vida, aunque justamente hoy haya oído que no estás muerto, por aquello de tu enfermedad (que yo siempre consideré sería una mentira patológica). Hay un hecho tan transcendental en tu recuerdo que me está dejando un páramo mental y te ruego me ayudes a solventarlo... ¿De qué color eran tus ojos? Adjunto lo que ni siquiera podría llamarse dibujo para que lo corrijas; fruto de lo que mi entendimiento permite dilucidar. Aplícale seriedad. Busca un espejo. Desconozco los matices del azul; ¿aquello de tus bordes era azul royal o tiffany? Indaga en sus surcos amarillos y si recreaban arcos o líneas verticales. Gama de verdes: enebro, pino o albahaca. ¿Hasta dónde el recorrido dorado central? Quiero grosores y delineaciones. ¿Cuál era el ojo de la mancha? Y ante este hecho, si es de curvatura suave o abrupta. El más descriptivo detalle sobre las betas que contorneaban tus pupilas sería de gran ayuda.
Borré tu foto, por si concibes la pregunta, pero aun después de tanto tiempo, conozco donde caían tus labios y de la nariz tus dimensiones... Entiende que esta intrigante cuestión alimenta un insomnio que deseo desaparezca. Necesito esta información.
Un abrazo suave,
Alicia.
"



Llegados a este punto, sin creer en un destino, me pregunto: ¿por qué hago esto? Y las resoluciones me inundan, y son tantas que me encharcan los pies. Elijo dos. ¿Se trata de propio egoísmo? Puede que haga esto por mi misma, pura ambición, por salvar mi ajada mente, que se recrea en el recuerdo gráfico de estructuras ajenas, tejidos que infunden una volátil mención, matices que apenas puedo diferenciar, y ante su falta; una hiperreflexia mental me llena de insatisfacción, la que me impide dormir. Me cuestiono si realmente la angustia que me provoca posee tal diámetro o es un sencillo proceso hipocondríaco en busca de protagonismo.
O, quizás, simplemente, una de esas voces trajo a mi vida su evocación y mi cerebro, no consciente, que supera con creces mi absurda inteligencia, decidió sitiar su memoria para enviarle semejante chiste mecanografiado. Un pretexto que considero barato e irónico.
Pero lo que es aun peor, y me lleva a redactar todo esto: qué pregunta tiene mayor relevancia.
Es de superior calibre el primer "de qué color eran sus ojos", que es origen, big bang, estallido de neurotransmisores, conexiones sinápticas y demás estructuras, el ión que sería célula y luego hombre, quid de la cuestión; que me insta a proceder de manera desvergonzada y se transforma en eje de una operación que, muy probablemente, no lleve a nada, o me lo entregue todo; satisfacción mental, placer de patrones encontrados, deleite de pasiones no superadas.
O lo es el no-desencadenante, transcendental demanda, que se origina como tras la presión de un interruptor. El por qué y la búsqueda de fundamentos que llegaron ya a la mente del neandertal cuando aun encendía fuego, que viene luego del acto, y que ha sido cuna de políticas e ideales.
Sin embargo, es un ciclo interminable de interrogantes, y se podría alargar esta división categórica infinitamente, como el engranaje de la vida misma, pues el hombre se ve atrapado por el remordimiento y la autoevaluación, todo en busca de una amnistía que le inquieta más que el propio suceso. ¿Después de la pregunta llega la conciencia y con ella el perdón? ¿Pero hasta entonces estamos liberados de culpabilidades o hay una remota centella que porta las cadenas, la condena pre-acción?
Concluyendo que, esta reflexión solo es un absurdo y mínimo, estúpido a la par que filosófico pensamiento, que peregrina mi entramado cerebral como si de un nutriente se tratase, y el cual me enturbia, estremece, y obliga a plasmarlo aquí, sólo por el hecatómbico hecho de que no recibí respuesta. Y así me hallo, dándole vueltas...
De qué color serán sus ojos.

Monday, May 2

W. R. Wagner - Spring Waltz


     La fina lana le cubría los hombros en aquel caluroso día, pero ella era hielo hasta los huesos. Abrió la puerta de metal, que emitió un tremebundo chillido y el mundo entero, el cual seguía con sus eternas vueltas de tuerca, no se percató del hecho que suponía el cruce del umbral. El planeta, qué curioso, continuó virando sin saber de su existencia. Y después del resplandor se hicieron nítidos tras de si todos aquellos adoquines desgastados, las líneas urbanas, fachadas roídas por el sol... Componían la ilustre gama del secano en primavera, de aldeas vacías y trabajadoras vidas perdidas.
     Mirando en una línea horizontal se hallaba la casa más azul de sus memorias, decorada en su totalidad con fragmentos triangulares de rocas oscuras. El tejado caía sobre un pequeño porche brindando el justo ribete de sombra que le correspondía. Varías sillas aleatorias inspiraban un aire familiar, de verano, y se pregunta entonces, qué clase de figura geométrica formarían vistas desde arriba. Se imagina la anciana tejiendo prendas otoñales, el niño jugando entre sonrisas sobre un triciclo bicolor, el padre cercano a los setos, podándolos, con desgana. 

Más próxima a sus ojos, una verja negra delimitaba el espacio; donde los descuidados zarzales parecía le gritaban que la enfermedad se había apoderado de aquel lugar. El ocre y el blanco sucio le bañaban los pies al caminar, pues formarían las dos franjas laterales que en su mente se asociaban como aceras, y se fundían en un resalto con la grisácea banda central, que en este caso, sería carretera. Todo se introducía por sus ojos de avellana hasta formar una representación mental que nunca olvidaría, y que le indicaba la diferencia entre una y otra concepción. Sin embargo, ella deambula por donde el resto no.
     De respirar el olor de sus manos habría manado una fragancia de hierro, y lo conoce, pero emplea su mano derecha para acariciar la pared contigua y siente una textura fresca, de bordes indefinidos, bultos dispuestos sin ningun sentido. Se pregunta quién se encargaría de formar aquel muro; un peón sin familia, su abuelo ya fallecido, un vecino caritativo... Y vuelve al roce de la trama, donde por debajo de su cintura el tabique se recubre de antiguos azulejos que al tacto son de suave coraza y lo dividen en dos. Sin embargo, están sucios, puesto que al despegar las palmas de la porcelana, dejan el ser blancas; se tapizan de un mínimo polvo amarronado. Y ella piensa: como mi corazón

     Para motivar su dirección le basta el recuerdo del olor a cáñamo, el sonido de un riachuelo de azul apagado que años atrás le mojó los pies. Quiere verse envuelta entre los manzanos, cuyas vistosas flores ya brotaron. Los capullos aunan el rosa intenso y el blanco más puro, en un mar de verdes hojas que les ofrecen sombra. Le recuerda el sabor de las fresas con nata. Su fragancia de entretiempo, todo se cubre entre tonalidades de amarillo; el del sol, que le azota la cara, el de las incansables flores silvestres, un tractor que se aproxima a lo lejos, el trigo aun no nacido... Yo la ví volar, simplemente con el roce, la fragancia, el pigmento, todo le palpita en el ardor de su piel, y quiere evocar para siempre aquella inmensa textura, que de un modo u otro, la hace feliz. El día en el que, junto con sus párpados, se levantó, al unísono, un cielo de infinita anchura y color. Yo me ví volar. 
    Y caminé.

Sunday, May 1

Curioso, nací el día de la madre.

Lo siento, el haber nacido, ser castigo, no ser niña prodigio, no brindarle a esta casa el estio, ni el olor a primavera del resto de niños.
Lo siento, ser en tus ojos cítrico, consuelo de ricos. Siento no llamar para decir que lo siento, siento gritarselo al frío río, que sabes me despeja. 
Siento que no conozcas más de mi, mi pecho no abrir, tu mano no hundir, seguir tu redil. Siento que tengas que oír "qué a gusto sin ti".
Lo siento, por nacer entre copos a finales de abril, por vivir, tan cerca y tan lejos de ti.
Lo siento, por no sentir. A veces pienso que mejor sería el fin, y aun así, desearía comenzar desde aquí. Me lastima, el hacerte sufrir, más de lo que me lo hago a mi.
Siento no haber sido quien tu deseabas, jugar en la arena, quedarme en la toalla, y yo sin embargo, huir a la playa, la cual más lejana, mordía las manos que pan me entregaban. Lo siento por todo, lo siento por nada.
Lo siento, por haber sido sola y hacerme a mi misma, ver tu silla vacía; cuando el resto aplaudía, dedicarle mis premios a cualquier otra vida. Qué tanta presión me imponías. Soñar que moría, la rabia fundida, a mi colchón de la ira; oír que gritabas ¡Alicia! Siento haber sentido que tu voz me desquicia... 
Siento, que hoy no es tu día.

Y sin embargo, sin ti, qué sería. ¡Ay de mi qué sería!